Séminaires FPC ET cycle DPC Norformed 2012

Modalités d'inscription :

  • Etre adhérent à Norformed ou à une association adhérente à l'Unaformec. Sinon faire un chèque de 80€ à l'ordre de Norformed.
  • Envoyer une feuille de soins barrée
  • Envoyer un chèque de 150 euros à l'ordre de l'Unaformec

Adresser le tout à : NORFORMED chez Dr Daniel Vandenbroucke 18 rue Philippe Van Tieghem 59270 Bailleul

L'inscription sera effective à réception de tous ces éléments et sera confirmée par courriel.


FPC 2012


Dépister et prévenir les mélanomes

  • vendredi 13 avril 2012 à Gosnay
  • Organisateur : Dr Jean-Michel BLONDEL

Nombre de places : 24

Public : Généralistes

Sur les 100 000 nouveaux cas de cancers cutanés par an en France, 10 000 sont des mélanomes. Les mélanomes sont responsables de plus de 1500 décès chaque année et doublent de fréquence tous les dix ans. Ils pourraient devenir la première cause de mortalité chez les moins de 45 ans dans les années 2035 si rien n'est fait. L'analyse de la littérature montre qu'il existe des arguments forts pour inciter au diagnostic précoce du mélanome malin : coût réduit (surtout en l'absence de métastase), geste d'exérèse plus simple, moins délétère et un taux de survie plus élevé à cinq ans. Le dépistage de masse n'a pas prouvé son efficacité mais l'apprentissage de l'auto-examen cutané et la bonne connaissance des éléments de prévention permettent une prise en charge plus efficiente. Par sa fonction d'intervenant en soins primaires, le médecin traitant dispose de nombreuses occasions de réaliser auprès de ses patients l'examen clinique spécifique et d'éviter l'issue dramatique d'un mélanome diagnostiqué tardivement.

Objectif : identifier les éléments du diagnostic précoce et les éléments de la prévention du mélanome.

Deux étapes : − Les facteurs de risque et l'information du patient − Les conditions de mise en œuvre d'un diagnostic précoce de mélanome

Intervenants : − Un médecin généraliste ayant une compétence en analyse critique de la littérature et analyse de la pratique des soins primaires. − Un dermatologue

REALISE COMPLET


Des antibiotiques ou des antiviraux dans les infections respiratoires saisonnières réputées virales

  • samedi 02 juin 2012 à Artres
  • Organisateur : Dr Pascal Duriez

Nombre de places : 24

Public : Généralistes

Deux études récentes, menées en France auprès de médecins généralistes montrent que la prescription d'AB au cours d'un épisode grippal concerne 1/4 à 1/3 des patients selon les années. Le traitement médicamenteux,d'un syndrome viral lorsqu'il est préconisé, doit rester minimal, guidé par la clinique, avant tout dirigé contre les symptômes : fièvre et douleurs. Alors que les antibiotiques (AB) ne sont recommandés que pour traiter une co-infection ou une complication, leur prescription à grande échelle reste une attitude fréquente dans les infections respiratoires aiguës (IRA). Des traitements spécifiques par antiviraux pris précocement diminuent la durée et l'intensité des symptômes mais se pose le problème de leurs indications, de leur utilité et de leurs effets indésirables dans la grippe saisonnière. Leur l'indication reste limitée. Même en dehors d'une pandémie, une situation de débordement de tous les professionnels de santé est à craindre en cas de forte épidémie saisonnière. Il convient d'envisager aussi la mise en place des mesures barrières destinées à limiter l'épidémie et à protéger les sujets à risque. 1 journée de formation pour 24 participants : Médecine générale (01)

Objectif : définir les critères de prescription des AB et des antiviraux dans un contexte de grippe saisonnière d'adapter leur pratique à une épidémie importante

Quatre étapes :− La grippe, côté science : du diagnostic au traitement, avec confrontation aux pratiques. − La grippe, côté patience : négociation du traitement. − La grippe, côté médecin : faire face à une épidémie. − Synthèse de la journée.

Intervenants :− Un médecin généraliste ayant une compétence en analyse critique de l'information médicale et participant si possible à un réseau de surveillance de la grippe − Un expert pharmacologue (ou compétence en virologie) ; apporte son expertise au niveau des données théoriques et épidémiologiques.

Inscription obligatoire en ligne


Ostéoporose, éviter les excès : prescrire à bon escient

  • vendredi 23 et samedi 24 novembre 2012 - Gosnay.
  • Organisateur : Dr Jean-Michel BLONDEL

L'ostéoporose est l'ostéopathie fragilisante la plus fréquente, touchant de plus en plus de femmes et d'hommes du fait notamment du vieillissement de la population. Par sa fréquence, elle est reconnue comme un important enjeu de santé publique du fait des conséquences potentiellement graves des fractures, dont elle augmente le risque. Les principales données épidémiologiques sont anciennes. Selon diverses projections en 2050, du fait du vieillissement de la population, 150 000 événements fracturaires devraient survenir annuellement. En France, pour l'année 2001, le montant des dépenses hospitalières liées aux conséquences de l'ostéoporose s'est élevé à 715 millions d'euros, 82% de cette somme correspondant aux fractures du col du fémur. Au-delà de ce que ces chiffres pourraient indiquer, la fréquence des manifestations imputées à l'ostéoporose entraîne des prescriptions d'examens radiologiques ou biologiques et des traitements ne doivent être prescrits qu'à bon escient et en respectant les recommandations et mes AMM. En prévention, on insistera particulièrement sur l'intérêt des prescriptions non médicamenteuses.

Séminaire de 2 jours consécutifs pour 24 participants : Médecine générale (01) - Gynécologie obstétrique (07) - Rhumatologues (14) - Gériatrie (34) - Gynécologie médicale (70) – Endocrinologues/métabolismes (42) - Obstétrique (77) - Gynécologie médicale obstétrique (79)

Objectifs : Optimiser la prise en charge des patients présentant une ostéoporose en tenant compte des rapports bénéfice / risque et coût / efficacité des prescriptions pour chaque patient ; Poser les indications d'examens d'imagerie et de biologie dans un bilan d'ostéoporose

Quatre séquences : Les éléments cliniques du diagnostic et des choix décisionnels Les examens complémentaires Les traitements. L'information du patient La mise en application

Intervenants Un médecin généraliste ayant une expertise dans l'analyse critique de l'information médicale Un médecin spécialiste de médecine interne ou de rhumatologie

Inscription obligatoire en ligne


DPC 2012

Céphalées de l'adulte : Confronter les pratiques et analyser les recommandations pour une prise en charge adaptée

  • DPC non présentiel
  • Organisateur : Dr Daniel VANDENBROUCKE

La migraine est une pathologie fréquente, dont la prévalence en France est estimée à 11,2% et 10% de personnes supplémentaires souffriraient de migraine sans aura préalable . Migraines et céphalées motivent 1,2% des recours aux soins , dont les 9/10e auprès de médecins généralistes. Il apparaît utile de développer des stratégies diagnostiques et thérapeutiques raisonnées, s'appuyant sur des recommandations et prenant en compte la particularité du diagnostic qui ne repose que sur la clinique, la difficulté de prise en charge au long cours, l'imprévisibilité et la variabilité des traitements, et la notion de maladie chronique qui nécessite une éducation du patient pour gérer les crises et leurs traitements.

Objectif et orientation. Nous proposons un programme de démarche qualité et sécurité des soins dans le cadre du plan de santé publique d'amélioration de la prise en charge de la douleur 2006-2010 « Priorité 3 : améliorer les modalités de traitement médicamenteux et d'utilisation des méthodes non pharmacologiques pour une prise en charge de qualité » :
- programme visant l'implication des médecins dans les pathologies correspondant aux plans et programmes de santé publique et de santé des populations ;
- thème SP 12 « prise en charge de la douleur » du cahier des charges FPC DPC 2012 ;

Méthode. Ce programme repose sur la comparaison à un référentiel. Audit clinique : comparaison des pratiques de soins à des références admises, à l'aide de critères d'évaluation de la qualité de ces pratiques et des résultats de soins, avec l'objectif de les améliorer. Il distingue 6 étapes : choix du thème, choix des critères, choix du protocole de mesure, recueil des données, analyse des résultats et plan d'actions d'amélioration avec suivi de son impact.

Cibles. : médecins généralistes - Groupes virtuels de 8 à 12 participants.

Durée : 6 mois alternant les trois étapes fondamentales du DPC, temps de travail individuel et trois réunions virtuelles pour mise en commun, analyse partagée des pratiques et des connaissances, renforcement des connaissances et des compétences, et évaluation de l'impact sur les pratiques.

Inscription obligatoire en ligne

Contact et renseignements : secretariat@norformed.com ou 03 20 57 72 67

Séminaires FPC ET cycle DPC Norformed 2012

Modalités d'inscription :

  • Etre adhérent à Norformed ou à une association adhérente à l'Unaformec. Sinon faire un chèque de 80€ à l'ordre de Norformed.
  • Envoyer une feuille de soins barrée
  • Envoyer un chèque de 150 euros à l'ordre de l'Unaformec

Adresser le tout à : NORFORMED chez Dr Daniel Vandenbroucke 18 rue Philippe Van Tieghem 59270 Bailleul

L'inscription sera effective à réception de tous ces éléments et sera confirmée par courriel.


FPC 2012


Dépister et prévenir les mélanomes

  • vendredi 13 avril 2012 à Gosnay
  • Organisateur : Dr Jean-Michel BLONDEL

Nombre de places : 24

Public : Généralistes

Sur les 100 000 nouveaux cas de cancers cutanés par an en France, 10 000 sont des mélanomes. Les mélanomes sont responsables de plus de 1500 décès chaque année et doublent de fréquence tous les dix ans. Ils pourraient devenir la première cause de mortalité chez les moins de 45 ans dans les années 2035 si rien n'est fait. L'analyse de la littérature montre qu'il existe des arguments forts pour inciter au diagnostic précoce du mélanome malin : coût réduit (surtout en l'absence de métastase), geste d'exérèse plus simple, moins délétère et un taux de survie plus élevé à cinq ans. Le dépistage de masse n'a pas prouvé son efficacité mais l'apprentissage de l'auto-examen cutané et la bonne connaissance des éléments de prévention permettent une prise en charge plus efficiente. Par sa fonction d'intervenant en soins primaires, le médecin traitant dispose de nombreuses occasions de réaliser auprès de ses patients l'examen clinique spécifique et d'éviter l'issue dramatique d'un mélanome diagnostiqué tardivement.

Objectif : identifier les éléments du diagnostic précoce et les éléments de la prévention du mélanome.

Deux étapes : − Les facteurs de risque et l'information du patient − Les conditions de mise en œuvre d'un diagnostic précoce de mélanome

Intervenants : − Un médecin généraliste ayant une compétence en analyse critique de la littérature et analyse de la pratique des soins primaires. − Un dermatologue

REALISE COMPLET


Des antibiotiques ou des antiviraux dans les infections respiratoires saisonnières réputées virales

  • samedi 02 juin 2012 à Artres
  • Organisateur : Dr Pascal Duriez

Nombre de places : 24

Public : Généralistes

Deux études récentes, menées en France auprès de médecins généralistes montrent que la prescription d'AB au cours d'un épisode grippal concerne 1/4 à 1/3 des patients selon les années. Le traitement médicamenteux,d'un syndrome viral lorsqu'il est préconisé, doit rester minimal, guidé par la clinique, avant tout dirigé contre les symptômes : fièvre et douleurs. Alors que les antibiotiques (AB) ne sont recommandés que pour traiter une co-infection ou une complication, leur prescription à grande échelle reste une attitude fréquente dans les infections respiratoires aiguës (IRA). Des traitements spécifiques par antiviraux pris précocement diminuent la durée et l'intensité des symptômes mais se pose le problème de leurs indications, de leur utilité et de leurs effets indésirables dans la grippe saisonnière. Leur l'indication reste limitée. Même en dehors d'une pandémie, une situation de débordement de tous les professionnels de santé est à craindre en cas de forte épidémie saisonnière. Il convient d'envisager aussi la mise en place des mesures barrières destinées à limiter l'épidémie et à protéger les sujets à risque. 1 journée de formation pour 24 participants : Médecine générale (01)

Objectif : définir les critères de prescription des AB et des antiviraux dans un contexte de grippe saisonnière d'adapter leur pratique à une épidémie importante

Quatre étapes :− La grippe, côté science : du diagnostic au traitement, avec confrontation aux pratiques. − La grippe, côté patience : négociation du traitement. − La grippe, côté médecin : faire face à une épidémie. − Synthèse de la journée.

Intervenants :− Un médecin généraliste ayant une compétence en analyse critique de l'information médicale et participant si possible à un réseau de surveillance de la grippe − Un expert pharmacologue (ou compétence en virologie) ; apporte son expertise au niveau des données théoriques et épidémiologiques.

Inscription obligatoire en ligne


Ostéoporose, éviter les excès : prescrire à bon escient

  • vendredi 23 et samedi 24 novembre 2012 - Gosnay.
  • Organisateur : Dr Jean-Michel BLONDEL

L'ostéoporose est l'ostéopathie fragilisante la plus fréquente, touchant de plus en plus de femmes et d'hommes du fait notamment du vieillissement de la population. Par sa fréquence, elle est reconnue comme un important enjeu de santé publique du fait des conséquences potentiellement graves des fractures, dont elle augmente le risque. Les principales données épidémiologiques sont anciennes. Selon diverses projections en 2050, du fait du vieillissement de la population, 150 000 événements fracturaires devraient survenir annuellement. En France, pour l'année 2001, le montant des dépenses hospitalières liées aux conséquences de l'ostéoporose s'est élevé à 715 millions d'euros, 82% de cette somme correspondant aux fractures du col du fémur. Au-delà de ce que ces chiffres pourraient indiquer, la fréquence des manifestations imputées à l'ostéoporose entraîne des prescriptions d'examens radiologiques ou biologiques et des traitements ne doivent être prescrits qu'à bon escient et en respectant les recommandations et mes AMM. En prévention, on insistera particulièrement sur l'intérêt des prescriptions non médicamenteuses.

Séminaire de 2 jours consécutifs pour 24 participants : Médecine générale (01) - Gynécologie obstétrique (07) - Rhumatologues (14) - Gériatrie (34) - Gynécologie médicale (70) – Endocrinologues/métabolismes (42) - Obstétrique (77) - Gynécologie médicale obstétrique (79)

Objectifs : Optimiser la prise en charge des patients présentant une ostéoporose en tenant compte des rapports bénéfice / risque et coût / efficacité des prescriptions pour chaque patient ; Poser les indications d'examens d'imagerie et de biologie dans un bilan d'ostéoporose

Quatre séquences : Les éléments cliniques du diagnostic et des choix décisionnels Les examens complémentaires Les traitements. L'information du patient La mise en application

Intervenants Un médecin généraliste ayant une expertise dans l'analyse critique de l'information médicale Un médecin spécialiste de médecine interne ou de rhumatologie

Inscription obligatoire en ligne


DPC 2012

Céphalées de l'adulte : Confronter les pratiques et analyser les recommandations pour une prise en charge adaptée

  • DPC non présentiel
  • Organisateur : Dr Daniel VANDENBROUCKE

La migraine est une pathologie fréquente, dont la prévalence en France est estimée à 11,2% et 10% de personnes supplémentaires souffriraient de migraine sans aura préalable . Migraines et céphalées motivent 1,2% des recours aux soins , dont les 9/10e auprès de médecins généralistes. Il apparaît utile de développer des stratégies diagnostiques et thérapeutiques raisonnées, s'appuyant sur des recommandations et prenant en compte la particularité du diagnostic qui ne repose que sur la clinique, la difficulté de prise en charge au long cours, l'imprévisibilité et la variabilité des traitements, et la notion de maladie chronique qui nécessite une éducation du patient pour gérer les crises et leurs traitements.

Objectif et orientation. Nous proposons un programme de démarche qualité et sécurité des soins dans le cadre du plan de santé publique d'amélioration de la prise en charge de la douleur 2006-2010 « Priorité 3 : améliorer les modalités de traitement médicamenteux et d'utilisation des méthodes non pharmacologiques pour une prise en charge de qualité » :
- programme visant l'implication des médecins dans les pathologies correspondant aux plans et programmes de santé publique et de santé des populations ;
- thème SP 12 « prise en charge de la douleur » du cahier des charges FPC DPC 2012 ;

Méthode. Ce programme repose sur la comparaison à un référentiel. Audit clinique : comparaison des pratiques de soins à des références admises, à l'aide de critères d'évaluation de la qualité de ces pratiques et des résultats de soins, avec l'objectif de les améliorer. Il distingue 6 étapes : choix du thème, choix des critères, choix du protocole de mesure, recueil des données, analyse des résultats et plan d'actions d'amélioration avec suivi de son impact.

Cibles. : médecins généralistes - Groupes virtuels de 8 à 12 participants.

Durée : 6 mois alternant les trois étapes fondamentales du DPC, temps de travail individuel et trois réunions virtuelles pour mise en commun, analyse partagée des pratiques et des connaissances, renforcement des connaissances et des compétences, et évaluation de l'impact sur les pratiques.

Inscription obligatoire en ligne

Contact et renseignements : secretariat@norformed.com ou 03 20 57 72 67

Ressources documentaires DPC_BPCO 2011

PDF - 321.8 ko
OGC - Engagement des médecins DPC 2011
PDF - 187.1 ko
Médecine - sept 2007
PDF - 166.3 ko
Médecine -novembre 2007
PDF - 582.8 ko
Médecine -Edito sept 2007
PDF - 415.2 ko
Recos de la Société de Pneumologie de Langue Française - Prise en charge de la BPCO 2009
PDF - 295.7 ko
Recommandations de la Société canadienne de thoracologie au sujet de la prise en charge de la maladie pulmonaire obstructive chronique – Mise à jour de 2008
PDF - 93.3 ko
LA REVUE DU PRATICIEN - MÉDECINE GÉNÉRALE. TOME 17. N° 601 DU 10 FÉVRIER 2003

Ressources documentaires DPC_BPCO 2011

PDF - 321.8 ko
OGC - Engagement des médecins DPC 2011
PDF - 187.1 ko
Médecine - sept 2007
PDF - 166.3 ko
Médecine -novembre 2007
PDF - 582.8 ko
Médecine -Edito sept 2007
PDF - 415.2 ko
Recos de la Société de Pneumologie de Langue Française - Prise en charge de la BPCO 2009
PDF - 295.7 ko
Recommandations de la Société canadienne de thoracologie au sujet de la prise en charge de la maladie pulmonaire obstructive chronique – Mise à jour de 2008
PDF - 93.3 ko
LA REVUE DU PRATICIEN - MÉDECINE GÉNÉRALE. TOME 17. N° 601 DU 10 FÉVRIER 2003

DPC (Développement Personnel Continu) 2011

thème :

Bronchopneumopathie Obstructive [BPCO] : Repérer – Evaluer – Prévenir – Informer.


Bronchopneumopathie Obstructive [BPCO] : Repérer – Evaluer – Prévenir – Informer.

Pré inscription en ligne

PDF - 79.4 ko
Inscription DPC BPCO
PDF - 17.7 ko
Présentation BPCO

Programme de DPC sur 6 mois pour Généralistes et/ou Pneumologues

Orientation et objectif : Programmes visant l'implication des médecins dans les pathologies correspondant aux plans et programmes de santé publique et de santé des populations - Plan pour l'amélioration de la qualité de vie des personnes atteintes de maladies chroniques (connaître, prévenir et mieux prendre en charge la BPCO 2005 - 2010).

Justification. Un patient sur deux ne bénéficie pas d'une prise en charge médicale optimale conforme aux recommandations professionnelles. Largement méconnue des patients, assimilée à la bronchite chronique, elle l'est aussi des médecins, ou au moins négligée à ses stades précoces asymptomatiques où la prise en charge et la prévention sont essentielles. Le tabac est le facteur largement prédominant parmi les causes de la BPCO, responsable de 80 à 90% des cas. Environ 50% des fumeurs développent des altérations spirométriques, 10 à 20% auront une BPCO clinique. Dans une étude néerlandaise 30% des fumeurs de 40 ans avaient une BPCO asymptomatique. Devant un patient asymptomatique mais présentant des facteurs de risque, la confirmation spirométrique du déficit doit conduire à mettre en oeuvre des mesures de prévention et de suivi, la priorité étant évidemment l'arrêt du tabac, pour freiner l'évolution vers les formes plus sévères invalidantes. Le dépistage et le suivi à un stade précoce constituent une activité de soins primaires qui incombe au médecin généraliste. L'objet de ce projet est de sensibiliser les médecins généralistes à l'importance et la faisabilité d'un repérage et d'un diagnostic précoce de la BPCO chez les patients à risque, notamment les fumeurs, en vue d'une prise en charge médicamenteuse ou non médicamenteuse destinée à préserver une capacité et une qualité de vie optimales.

Méthodes : Revue de dossiers et analyse de cas.

Objectifs généraux

1. Définir les éléments d'un diagnostic précoce de la BPCO chez les patients à risque

2. Définir une stratégie de prise en charge précoce de la BPCO chez les patients symptomatiques ou asymptomatiques

Principales étapes
- Travail individuel : Regard sur la pratique (audit 1) ; appropriation de la documentation mise à disposition ; identifier les points clés des recommandations
- Mise en commun (réunion virtuelle) sous la conduite d'un animateur – Définir les critères d'une démarche qualité
- Entre 3 et 5 mois, travail individuel – Mettre en oeuvre les actions d'amélioration de la pratique.
- A 5 mois, travail individuel – Evaluer l'impact du processus sur les modifications de la pratique (audit2).
- A 6 mois, nouvelle mise en commun (réunion virtuelle 2) - Définir des modalités de suivi.
- Evaluer à distance la pérennité de l'impact du processus sur les modifications de la pratique ;

Equivalent temps de travail personnel : 3 jours - Durée du programme : 6 mois

Ressources documentaires

Pré inscription en ligne


DPC (Développement Personnel Continu) 2011

thème :

Bronchopneumopathie Obstructive [BPCO] : Repérer – Evaluer – Prévenir – Informer.


Bronchopneumopathie Obstructive [BPCO] : Repérer – Evaluer – Prévenir – Informer.

Pré inscription en ligne

PDF - 79.4 ko
Inscription DPC BPCO
PDF - 17.7 ko
Présentation BPCO

Programme de DPC sur 6 mois pour Généralistes et/ou Pneumologues

Orientation et objectif : Programmes visant l'implication des médecins dans les pathologies correspondant aux plans et programmes de santé publique et de santé des populations - Plan pour l'amélioration de la qualité de vie des personnes atteintes de maladies chroniques (connaître, prévenir et mieux prendre en charge la BPCO 2005 - 2010).

Justification. Un patient sur deux ne bénéficie pas d'une prise en charge médicale optimale conforme aux recommandations professionnelles. Largement méconnue des patients, assimilée à la bronchite chronique, elle l'est aussi des médecins, ou au moins négligée à ses stades précoces asymptomatiques où la prise en charge et la prévention sont essentielles. Le tabac est le facteur largement prédominant parmi les causes de la BPCO, responsable de 80 à 90% des cas. Environ 50% des fumeurs développent des altérations spirométriques, 10 à 20% auront une BPCO clinique. Dans une étude néerlandaise 30% des fumeurs de 40 ans avaient une BPCO asymptomatique. Devant un patient asymptomatique mais présentant des facteurs de risque, la confirmation spirométrique du déficit doit conduire à mettre en oeuvre des mesures de prévention et de suivi, la priorité étant évidemment l'arrêt du tabac, pour freiner l'évolution vers les formes plus sévères invalidantes. Le dépistage et le suivi à un stade précoce constituent une activité de soins primaires qui incombe au médecin généraliste. L'objet de ce projet est de sensibiliser les médecins généralistes à l'importance et la faisabilité d'un repérage et d'un diagnostic précoce de la BPCO chez les patients à risque, notamment les fumeurs, en vue d'une prise en charge médicamenteuse ou non médicamenteuse destinée à préserver une capacité et une qualité de vie optimales.

Méthodes : Revue de dossiers et analyse de cas.

Objectifs généraux

1. Définir les éléments d'un diagnostic précoce de la BPCO chez les patients à risque

2. Définir une stratégie de prise en charge précoce de la BPCO chez les patients symptomatiques ou asymptomatiques

Principales étapes
- Travail individuel : Regard sur la pratique (audit 1) ; appropriation de la documentation mise à disposition ; identifier les points clés des recommandations
- Mise en commun (réunion virtuelle) sous la conduite d'un animateur – Définir les critères d'une démarche qualité
- Entre 3 et 5 mois, travail individuel – Mettre en oeuvre les actions d'amélioration de la pratique.
- A 5 mois, travail individuel – Evaluer l'impact du processus sur les modifications de la pratique (audit2).
- A 6 mois, nouvelle mise en commun (réunion virtuelle 2) - Définir des modalités de suivi.
- Evaluer à distance la pérennité de l'impact du processus sur les modifications de la pratique ;

Equivalent temps de travail personnel : 3 jours - Durée du programme : 6 mois

Ressources documentaires

Pré inscription en ligne