SURVEILLANCE ACTIVE DU CANCER DE LA PROSTATE

SURVEILLANCE ACTIVE DU CANCER DE LA PROSTATE

Comment et pourquoi ne pas traiter ?

 

Docteur Georges CAVROIS

 Le protocole de surveillance active est mis en place dans de nombreux centres depuis plusieurs années, parce que l’on constate que les tumeurs prostatiques à faible risque de progression, sont en augmentation constante, partant de l’hypothèse qu’il existe deux groupes de cancer prostatiques : une forme quiescente qui pourrait être surveillée, une forme agressive qui doit être traitée précocement.

La difficulté réside dans la différentiation des ces deux formes, le PSA, le toucher rectal, l’IRM s’ils sont des indicateurs ne peuvent orienter vers l’une ou l’autre forme de cancer, seules les biopsies permettent actuellement de les différencier, par la mesure de la masse tumorale et le grade de Gleason qui permet d’appréhender l’agressivité des cellules tumorales.

Les objectifs de la surveillance active sont :

  • différer le traitement au moment où sont constatés les signes de progression de la maladie
  • préserver la qualité de vie des patients tout en leur offrant une prise en charge curative
  • identifier et ne traiter que les cancers prostatiques menaçants.

Les différentes séries internationales publiées, avec un recul allant jusqu’à 8 ans montrent que dans 30% des cas les patients inclus dans un protocole de surveillance active vont être reclassés et traités, généralement parce que le suivi a montré une progression de la maladie mais aussi parce que certains patients ont souhaité sortir de ce protocole et être traités alors qu’ils ne présentaient pas de signe de progression.

D’autres séries viennent conforter l’hypothèse des formes quiescentes ou agressives du cancer de la prostate, en constatant que les patients en progression sont des patients dont l’évaluation initiale était insuffisamment documentée, ces patients présentant d’emblée une forme agressive passée inaperçue.

C’est dire l’importance de l’évaluation initiale, en répétant la nécessité de doser le PSA une fois par an à partir de 50 ans, voire 45 ans en cas de forme familiale, de pratiquer le toucher rectal annuellement : un tiers des cancers prostatiques se développe sans modification significative du PSA, et surtout en insistant sur l’importance de l’IRM pré biopsies qui pour des tumeurs d’un volume supérieur à 0,5 cc a une spécificité de 95%, une sensibilité de 86% et une valeur prédictive négative de 95%.

Le protocole de biopsies est également un élément fondamental de l’évaluation initiale, parfois insuffisamment précis, il peut être complété par un protocole plus complet de « re biopsies précoces  » qui selon les séries, permet d’exclure 25 à 30 % de patients du protocole de surveillance active, mais retrouve 26 % de biopsies négatives.

Quels sont les critères d’inclusion ?

Le stade clinique T1c ou T2

L’IRM non suspecte.

Le PSA < 10

Une longueur tumorale < à 3mm par carotte biopsique

Moins de 3 biopsies positives

L’absence de grade 4 ou de score 7 de Gleason

La décision de « re biopsies » sera prise en réunion de concertation multidisciplinaire au vu du PSA, des biopsies et de l’IRM pré biopsies.

La proposition de surveillance active sera évoquée en consultation d’annonce avec le patient, la décision ne pourra être prise sans son consentement.

Comment le patient sera t il suivi ?

Dosage du PSA tous les 6 mois.

Toucher rectal, IRM comparative, biopsies à un an.

Résultats

Parmi les différentes équipes ayant mis en place un protocole de surveillance active, et avec un suivi moyen variant de 3,4 à 8 ans, le pourcentage de patients traités varie de 8 à 35 %, incluant les patients sans progression souhaitant sortir du protocole.

L’apport de l’IRM avant les biopsies témoigne d’une avancée dans l’évaluation initiale significative : lorsque l’IRM est suspecte: 41% de progression, lorsqu’elle ne l’est pas : 4% de progression.

Conclusion

La surveillance active permet d’éviter le sur traitement, sans négliger les formes dangereuses, menaçantes, de cancer prostatiques, celles qui tuent et deviennent incontrôlables.

Les contre indications actuelles dépendent de la masse tumorale et du grade de Gleason > 6.

La valeur du PSA est à discuter en fonction du volume prostatique et des valeurs antérieures connues.

LES PROTHESES DISCALES

LES PROTHESES DISCALES

Quelles indications ? Quels critères ? Quels résultats

 

Professeur Richard ASSAKER

 

Définition

L’arthroplastie discale consiste en la réalisation d’une dissectomie complète par voie antérieure suivie de la mise en place d’une prothèse discale, préservant ainsi la mobilité.

Introduction

La dégénérescence discale est la première étiologie de la lombalgie chronique et constitue la principale cause d’incapacité de travail chez les moins de 45 ans. Le contrôle des facteurs de risque (surpoids, tabac,..) et la prise en charge médicale conservatrice demeurent essentiels. Les traitements conservateurs ne s’avèrent pas efficaces dans tous les cas. On estime que 2,5% à 5% des patients lombalgiques chroniques résistent aux traitements conservateurs et présentent une invalidité telle qu’elle empêche toute reprise d’activité [1]. Dans ces situations, la chirurgie d’arthrodèse a démontré sa supériorité sur le traitement conservateur fonctionnel comme cela a été rapporté par Fritzell [2] dans une étude multicentrique prospective randomisée. Les techniques d’arthrodèse ont été développées dans le but de supprimer la douleur en neutralisant l’instabilité algogène du segment mobile rachidien. En dépit des bons résultats cliniques, de nombreuses controverses sont apparues quant au développement ultérieur de discopathies adjacentes et certaines études rapportent des taux pouvant atteindre 20% des cas à 10 ans [3]. Ceci a conduit au développement de nouvelles techniques, dont le remplacement prothétique du disque intervertébral [4]. Les progrès techniques et la meilleure connaissance du comportement biomécanique du disque intervertébral ont permis le développement d’implants plus fiables.

Indication

La prise en charge chirurgicale d’un patient présentant une lombalgie chronique d’origine discale (discogénique) nécessite le respect de plusieurs critères.

Clinique :

  • Le traitement chirurgical de la lombalgie ne peut se concevoir qu’après l’échec du traitement conservateur pendant plus de six mois.
  • Le handicap fonctionnel doit être significatif. Pour cela l’utilisation d’un score reproductible est souhaitable. Un score d’Oswestry (ODI) supérieur à 20/50      (40%) est requit avant d’envisager un traitement chirurgical.
  • La lombalgie discogénique doit répondre à certains critères sémiologiques. Le clinicien s’efforcera d’écarter des lombalgies liées à un déconditionnement      musculaire ou à un syndrome articulaire postérieur. La lombalgie discogénique est classiquement diffuse, irradiant en ceinture, impulsive et majorée par la position assise. Une irradiation « pseudo radiculaire » est classique mais elle doit demeurer au second plan du tableau clinique.

Radiologique :

Le bilan radiologique se doit d’être exhaustif aussi bien pour établir le diagnostic positif que pour dépister les éventuelles contre indications.

  • L’IRM constitue l’examen clé du diagnostic. Elle permet d’identifier le niveau      pathologique et d’objectiver l’atteinte discale [5]. La présence de remaniements inflammatoires des plateaux vertébraux  constitue un facteur pronostic [6].
  • Le scanner rachidien demeure un examen nécessaire car il évalue la qualité de la trame osseuse et l’état des articulaires postérieures. Un angioscanner des vaisseaux iliaques peut être couplé à l’examen pour évaluer les difficultés d’accès en fonction de l’anatomie vasculaire du patient.
  • Radiographies : les téléradiographies en charge sont également très informatives. Elles permettent d’évaluer les paramètres de l’équilibre sagittal du patient et de dépister une déformation scoliotique (contre-indication à l’arthroplastie).
  • Discographie : le diagnostic de lombalgie discogénique repose donc sur un faisceau d’arguments clinique et radiologique. Un test discographique de provocation a été prôné par certains de part sa sensibilité importante (Se>90%). Toutefois, cet examen invasif n’est plus systématique et ne sera proposé qu’en cas de doute diagnostic important, pour mieux préciser le niveau lésionnel.
  • Ostéodensitométrie : elle sera pratiquée en présence de facteurs de risques. Un  T-Score <-1 constitue une contre indication à l’arthroplastie.

Avantages théoriques de l’arthroplastie

Au terme de ce bilan, si un patient est éligible à une prise en charge chirurgicale, il convient de définir la stratégie la plus adaptée. L’arthroplastie doit être proposée à certains patients car elle présente de nombreux avantages :

  • L’abord antérieur permet de réaliser l’exérèse complète du disque qui est la source de la douleur (pain generator).
  • L’abord antérieur permet une meilleure restauration des hauteurs discale et foraminale.
  • La prothèse permet de préserver ou restaurer la mobilité segmentaire.
  • La prothèse permet de protéger les segments adjacents.
  • La prothèse permet une réhabilitation et une reprise d’activité plus rapide.

Contre-indications

Dans le cas où une arthroplastie est envisagée, il convient de s’assurer de l’absence de contre-indication.

Liées au patient : l’arthroplastie nécessite un abord antérieur qui expose à des risques vasculaires (rares) et d’éjaculation rétrograde (<1%) par dissection du plexus hypogastrique. Le patient doit en être clairement informé au préalable. De plus, tout antécédent de chirurgie vasculaire ou abdominal peut accroître les difficultés de dissection, et constituer une limite.

L’obésité constitue également une limite à l’arthroplastie. La morbidité accrue de l’abord antérieur et les contraintes mécaniques accrues exercées sur l’implant doivent limiter l’utilisation de l’arthroplastie pour un BMI< 35.

L’ostéoporose : un T-Score <-1 constitue une contre-indication classique de part le risque d’impaction de la prothèse dans les plateaux adjacents (« trop fragiles »).

Une atteinte articulaire postérieure doit faire contre-indiquer l’arthroplastie. Si le patient présente une douleur articulaire associée, le maintient de la mobilité va entretenir ces contraintes et être à l’origine d’un mauvais résultat thérapeutique. En cas de doute, une infiltration articulaire peut servir de test thérapeutique (« block-test »). Une hypertrophie articulaire objectivée au scanner doit imposer la même prudence.

Une déformation vertébrale (scoliose ou spondylolisthésis) connue ou dépistée constitue une contre-indication classique à l’arthroplastie. 

Résultats

Efficacité

Plusieurs études prospectives randomisées ont été publiées comparant la chirurgie d’arthrodèse avec la prothèse discale. De nombreuses études ont démontrées un bénéfice immédiat après arthroplastie. La mise en place d’une prothèse permet une hospitalisation plus courte et une reprise d’activité plus précoce. Les douleurs postopératoires sont également largement diminuées. Concernant le contrôle de la lombalgie et le statut fonctionnel, l’arthroplastie a démontré son efficacité en comparaison à l’arthrodèse qui demeure toutefois le traitement chirurgical de référence. Certaines études rapportent une supériorité de l’arthroplastie tandis que d’autres ne retrouvent pas de différence significative entre les deux modalités de traitement [7-9]. Il n’existe que peu d’études rapportant les résultats à long terme, et nombreux sont ceux qui s’interrogent sur la pérennité de l’implant [10].

Discopathie adjacente

La préservation des disques adjacents est un des avantages « théoriques » de la prothèse discale, qui a initialement justifié sa mise au point. De manière paradoxale, il n’existe que très peu de données attestant de ce bénéfice [11]. Un suivi à très long terme est nécessaire et des travaux ultérieurs devraient nous renseigner.

Complications

Les complications de l’abord antérieur sont inhabituelles en chirurgie rachidienne et le patient doit en être clairement informé. Des complications digestives, vasculaires, neurologiques, ou sexuelles peuvent se rencontrer mais demeurent tout à fait exceptionnelles. Ces mêmes études ont rapporté des taux de complications et de morbidité similaires entre l’arthrodèse postérieure et la prothèse lombaire. Les complications sont plus liées à la voie d’abord ou à la technique de pose ce qui souligne que cette chirurgie doit être réservée à des chirurgiens spécialisés et expérimentés à cette technique.

Conclusion

Le traitement chirurgical de la lombalgie discogénique ne s’envisage qu’en cas d’échec des mesures conservatrices. La prothèse discale est une alternative thérapeutique séduisante. Une sélection drastique des indications est nécessaire. Les résultats préliminaires sont encourageants mais les résultats à long terme demeurent largement inconnus.

 

HAS 2011 : 

1. « La prise en charge est assurée en cas de lombalgie discogénique, chronique et invalidante, résistant à un traitement médical bien conduit pendant au moins 6 mois et de préférence 1 an, chez un sujet adulte de moins de 60 ans, porteur d’une discopathie lombaire ou lombo-sacrée symptomatique. Un seul disque pathologique doit être remplacé par prothèse discale lombaire.»

2. « La décision de pose d’une prothèse discale lombaire doit prendre en compte les trois dimensions suivantes : clinique, imagerie et psycho socio professionnelle.»

3. « Le nombre d’implantations de prothèses discales lombaires attendu par an doit être d’au moins 15 par équipe chirurgicale.»

4. « Un chirurgien ayant des compétences en chirurgie vasculaire doit être disponible au sein de l’établissement.» 

Références

1. Koes BW, van Tulder MW, Thomas S. Diagnosis and treatment of low back pain. BMJ,2006;  332: 1430-4

2. Fritzell P, Hägg O, Wessberg P, Nordwall A; Swedish Lumbar Spine Study Group. 2001 Volvo Award Winner in Clinical Studies: Lumbar fusion versus nonsurgical treatment for chronic low back pain: a multicenter randomized controlled trial from the Swedish Lumbar Spine Study Group. Spine 2001;26:2521-32.

3. Kumar MN, Jacquot F, Hall H. Long-term follow-up of functional outcomes and radiographic changes at adjacent levels following lumbar spine fusion for degenerative disc disease. Eur Spine J 2001; 10: 309-13.17.

4. Fernström U.Arthroplasty with intercorporal endoprothesis in herniated disc and in painful disc. Acta Chir Scand Suppl, 1966; 357:154-9.

5. Griffith JF, Wang YX, Antonio GE, Choi KC, Yu A, Ahuja AT, Leung PC. Modified Pfirrmann grading system for lumbar intervertebral disc degeneration. Spine (Phila Pa 1976). 2007 Nov 15; 32(24): E708-12.

6. Blondel B, Tropiano P, Gaudart J, Huang RC, Marnay T. Clinical results of lumbar total disc arthroplasty in accordance with Modic signs, with a 2-year-minimum follow-up. Spine (Phila Pa 1976). 2011 Dec 15; 36(26): 2309-15.

7. Blumenthal S, McAfee PC, Guyer RD, et al. A Prospective, Randomized, Multicenter Food and Drug Administration Investigational Device Exemptions Study of Lumbar Total Disc Replacement with the CHARITÉ™ Artificial Disc Versus Lumbar Fusion. Spine 2005; 30:1565-75.

8. Sasso RC, Foulk DM, Hahn M. Prospective, randomized trial of metal-on-metal artificial lumbar disc replacement: initial results for treatment of discogenic pain. Spine 2008; 33:123-31.

9. Zigler J, Delamarter R, Spivak JM, Linovitz RJ, Danielson GO 3rd, Haider TT, Cammisa F, Zuchermann J, Balderston R, Kitchel S, Foley K, Watkins R, Bradford D, Yue J, Yuan H, Herkowitz H, Geiger D, Bendo J, Peppers T, Sachs B, Girardi F, Kropf M, Goldstein J. Results of the prospective, randomized, multicenter Food and Drug Administration investigational device exemption study of the ProDisc-L total disc replacement versus circumferential fusion for the treatment of 1-level degenerative disc disease. Spine, 2007 May 15; 32 (11): 1155-62.

10. Tropiano P, Huang RC, Girardi FP, Cammisa FP Jr, Marnay T. Lumbar total disc replacement, 7 to 11 years of follow up. J Bone Joint Surg Am, 2005; 87: 490-96.

11. Harrop JS, Youssef JA, Maltenfort M, et al. Lumbar adjacent segment degeneration and disease after arthrodesis and total disc arthroplasty. Spine 2008; 33:1701-7.

Editorial 2013

Continue………. Vous avez dit “Continue” ?

Le FORMATHON a 25 ans. Vingt cinq années au cours desquelles nous avons décliné l’idée que nous nous faisions de la Formation Médicale Continue.

En 1988 notre confrère et ami Patrick Cousin crée et propose un concept de “journées marathon de formation”. Véritable congrès régional de médecine générale, le FORMATHON a eu pour ambition d’être la vitrine de la FORMATION Médicale Continue associative, d’en faire la promotion et d’insuffler une nouvelle dynamique au sein des associations locales. Depuis lors, les modalités de fonctionnement demeurent et reposent sur trois principes :

  • le recueil et l’identification des besoins exprimés par les confrères et congressistes.
  • l’élaboration des objectifs pédagogiques par des médecins généralistes en collaboration avec les experts spécialistes et au plus proche des problématiques spécifiques de l’exercice de la médecine générale.
  • l’évaluation systématique de la pertinence et de l’efficacité de l’enseignement dispensé.

Cette Formation Médicale Continue non conventionnelle s’est toujours imposée à nous comme une évidence, nécessaire prolongement de notre métier de médecin, tant il est vrai que cette démarche de perfectionnement et de réactualisation des connaissances participe non seulement au développement du savoir, mais également, et nous l’avons souligné en permanence, à celui du savoir-faire et du savoir-être.

Depuis, l’article 59 de la loi de réforme de 2009 a introduit dans le cadre de la santé publique la notion de Développement Professionnel Continu (DPC) des professionnels de santé, intégrant la Formation Professionnelle Continue (FPC) et l’Évaluation des Pratiques Professionnelles (EPP), l’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins ainsi que la prise en compte des priorités de santé publique et de la maîtrise médicalisée des soins. Il est précisé par ailleurs que le DPC constitue une obligation à laquelle chacun doit satisfaire. Il s’agit au final de mobiliser et d’inciter le plus grand nombre, à une démarche de qualité certes, mais surtout, à une rationalisation de la pratique médicale.

Nous observons donc une différence notable de philosophie entre ces deux entités que sont la FMC «traditionnelle» et le DPC . Mais après tout peu importe, car les deux sont compatibles et il ne nous est pas demandé d’abandonner la première pour répondre exclusivement à la seconde. Le champ de l ‘exercice de la médecine est vaste et,  par éthique, tous les aspects de la pathologie humaine nous concernent. Aucune priorité de stratégie de santé publique ne nous autorise à négliger quelque domaine de formation que ce soit.

Alors donc, oui ! au FORMATHON, ON CONTINUE !

Nous vous y attendons toujours aussi nombreux les 16 et 17 Mars 2013. 

Dr Alain Lemaire             

INTERVENANTS

INTERVENANTS

 

 

Professeur Richard ASSAKER Docteur Eric AUXENFANTS
Service de neurochirurgie Centre Hospitalier de Roubaix
CHRU de Lille 37 rue de Barbieux
59037 LILLE Cedex 59056 ROUBAIX Cedex
   
Professeur Christophe BAUTERS Docteur Michel BILAND
Service de cardiologie 2 résidence Toison d’Or
Hôpital Cardiologique Rue Havré
59037 LILLE Cedex 59200 TOURCOING
   
Professeur Serge BLOND Docteur Arnaud BONTE
Service de neurochirurgie 121rue Jacquemars Giélée
CHRU de Lille 59000 LILLE
59037 LILLE Cedex  
 

Madame Elodie BOUQUET

 

Docteur Pascal BROUTIN

Hôpital Jean XXIII 1 rue Lamartine
3 place Erasme de Rotterdam 59280 ARMENTIERES
59160 LOMME  
 

Docteur Thierry CARDON

 

Docteur Sophie CAUDRELIER LEVIVIER

269 ter avenue de la République Centre Hospitalier d’Armentières
59110 LA MADELEINE Rue du Général Leclerc
  59487 ARMENTIERES Cedex
   
Docteur Georges CAVROIS Docteur Philippe CHARLIER
20 rue des Vicaires Hôpital Raymond Poincaré
59000 LILLE 104 Boulevard Raymond Poincaré
  92380 GARCHES
   
Professeur Pierre COLLINET Docteur Hugues COURTEVILLE
Hôpital Jeanne de Flandre 15 place Sébastopol
59037 LILLE Cedex 59000 LILLE
   
Docteur Isabelle DERVITE Docteur Vincent DRUON
Centre Hospitalier de Roubaix Centre hospitalier de Wasquehal
37 rue de Barbieux Rue Salvator Allende BP 165
59056 ROUBAIX Cedex 59444 WASQUEHAL Cedex
   
Docteur François DUCROCQ Docteur Jean-Louis DUCROCQ
SAMU 59 Les Marronniers
CHRU de Lille 139 avenue Jean Jaurès
59037 LILLE Cedex 59790 RONCHIN
   
Docteur Thierry FACON Professeur René-Marc FLIPO
Service des maladies du sang Service de rhumatologie
CHRU de Lille CHRU de Lille
59037 LILLE Cedex 59037 LILLE Cedex
   
Docteur Damien FRON Docteur Catherine GOUDEMAND
Service d’orthopédie pédiatrique Psychiatre de l’enfant et adolescent
Hôpital Jeanne de Flandre 108 boulevard du Comte de Montalember
59037 LILLE Cedex 59650 VILLENEUVE D’ASCQ
 

 

 

 

 
Professeur Pierre-Yves HATRON Docteur Alain HEULINE
Service de Médecine interne 24 rue de Lille
Hôpital Huriez  CHRU de LILLE 59480 LA BASSEE
59037 LILLE Cedex  
   
Docteur Anne-Françoise HIRSCH Docteur Thomas HULEUX
73 rue Sainte Thérèse Service des maladies infectieuses
59100 ROUBAIX Centre hospitalier de Tourcoing
  59208 TOURCOING Cedex
   
Docteur Damien MOUTON Docteur Eric NECTOUX
20 rue des Vicaires Département de Chirurgie orthopédique
59000 LILLE Hôpital Jeanne de Flandre
  59037 LILLE Cedex
   
Professeur Christian NOEL Docteur Philippe PETIT
Service de néphrologie CDRMP CARSAT
Hôpital Huriez  CHRU de LILLE 11 allée VAUBAN
59037 LILLE Cedex 59650 VILLENEUVE D’ASCQ
 

Professeur François PUISIEUX

 

Madame Elise REMY

Hôpital gériatrique les Bateliers Hôpital Jean XXIII
Rue des Bateliers 3 place Erasme de Rotterdam
59037 LILLE Cedex 59160 LOMME
 

Docteur Geoffroy ROBIN

 

Docteur Marc ROUSSEAUX

CHRU de Lille Hôpital Swynghedauw
Rue Eugène Avinée Rue André Verhaeghe
59037 LILLE Cedex 59037 LILLE Cedex
   
Docteur Chrystèle RUBOD Professeur Eric SENNEVILLE
Hôpital Jeanne de Flandre Hôpital Dron
59037 LILLE Cedex 155 rue du Président Coty
  59208 TOURCOING
   
Docteur Eric TISON Docteur Françoise TISON MUCHERY
Clinique de la Louvière 26 boulevard de la République
69 rue de la Louvière 59120 LOOS
59000 LILLE  
 

Docteur Catherine WEMEAU

 

Professeur Jean-Louis WEMEAU

Centre Hospitalier de Seclin Service d’endocrinologie
Avenue des Marronniers Hôpital Huriez CHRU de Lille
59471 SECLIN 59037 LILLE Cedex
   
Docteur Thierry WIART Docteur Hubert YTHIER
Service de dermatologie Centre Hospitalier de Roubaix
Hôpital Saint Vincent de Paul 37 rue de Barbieux
59000 LILLE 59056 ROUBAIX Cedex
   
Madame COULON

Centre Oscar Lambret

3 rue Frédéric Combemale

BP 307

59020 LILLE Cedex

 
   

COMMISSION PEDAGOGIQUE ET ANIMATEURS

COMMISSION PEDAGOGIQUE ET ANIMATEURS

 

ABI RAMIA Sami LEROY Hubert
1 ter boulevard Jean Baptise Lebas 83 chaussée de l’Hôtel de Ville
59000 LILLE 59650 VILLENEUVE D’ASCQ
BILAND Michel LUEZ  Jean-Marc
Bat A, Résidence Toison d’or 196 rue de l’Abbé Bonpain
59200 TOURCOING 59000 LILLE
BONTE Arnaud MINARD Nathalie
121 rue Jacquemars Giélée 69 rue du 11 Novembre
59000 LILLE 59370 MONS EN BAROEUL
CLAERBOUT Jean-François MINGUET GUILBERT Julie
23 bis place Sébastopol 225 rue Nationale
59000 LILLE 59000 LILLE
CORBINAU Jean-Pierre PICHOT Marie-Françoise
Hôpital Jean XXIII 3 place E. Rotterdam 4 rue du Faubourg Notre Dame
5916O LOMME 59000 LILLE
COURTI Daniel REHBY Jean-Marc
2390 rue de la Lys 13 rue de Valmy
62840 SAILLY SUR LA LYS 59000 LILLE
COUSIN Patrick SION Richard
165 rue Delpierre 6 rue des Archives
59193 ERQUINGHEM LYS 59000 LILLE
DELCAMBRE Philippe SZAPIRO Marc
2 square Porritt 43 avenue Schumann, Résidence Europe
59113 SECLIN 59370 MONS EN BAROEUL
LECOUVEZ Frédéric VALENTIN François
225 rue Nationale 5 rue Edouard Vaillant
59800 LILLE 59155 FACHES THUMESNIL
LEMAIRE Alain VANDECANDELAERE Guy
86 rue Clémenceau 37 rue Roger Salengro
59139 WATTIGNIES 62575 BLENDECQUES
LEROUX Patrick WALLET Jean
23 rue Maurice Bouchery 115 boulevard De Gaulle
59480 LA BASSEE 59100 ROUBAIX

Les partenaires DU FORMATHON

Les partenaires DU FORMATHON

 

Que nous remercions pour leur aide à la réalisation de ce FORMATHON

 

 

AMMELICO                                                           ASTELLAS

ASTRA ZENECA                                                   BIOCODEX

BLEDINA                                                                BMS

BMS UPSA                                                              BOERINGHER

DAIICHI-SANKYO                                                DINNO-SANTE

EXPANSCIENCE                                                    GESCALL

GIBAUD                                                                  GRUNENTHAL

IP SANTE                                                                LABCATAL

LACTALIS                                                              LILLY

MICHEL LELEUX CONSEIL                                MSD

MUNDIPHARMA                                                 NESTLE

NOVARTIS                                                             NOVONORDISK

PFIZER                                                                    PIERRE FABRE MEDICAMENT

PIERRE FABRE SANTE                                        PROMOTHERA PHARMATHERA

SANOFI                                                                   SANOFI PASTEUR

SERVIER                                                                  TAKEDA NYCOMED

TONIPHARM

Certificat en vue d’une mesure de protection à l’égard d’une personne majeure ou de son renouvellement

1) Caractériser l’altération des facultés mentales et/ou corporelles de la personne examinée : ………………………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………… 2) Dire dans quelle mesure cette altération est de nature à empêcher l’expression de la volonté de la personne examinée. Préciser si cet empêchement est total … Continuer la lecture